Comme un smartphone, la batterie d’une voiture électrique se recharge par raccordement au réseau électrique. La majorité des recharges d’un véhicule électrique se fait à domicile, à l’aide du Flexicharger sur une prise domestique renforcée ou avec le câble type 2 sur une borne de recharge domestique. En complément, la recharge peut se faire, lors d’un déplacement, via l’une des 29 000 (donnée approximative à fin 2019) bornes de recharge publiques disponibles en France (situées dans des parkings publics, des centres commerciaux et sur le réseau autoroutier), au sein du Réseau Renault et des réseaux d’autopartage.
Pour recharger sa voiture électrique chez soi, les modèles Renault Z.E. (hors Master Z.E.) sont livrés, de série, avec le câble Flexicharger (mode 2). Il permet de se recharger sur une prise domestique renforcée ou uniquement de manière occasionnelle sur une prise domestique 220 V.
Ce raccordement implique la présence d’une infrastructure de recharge domestique, dont l’installation doit nécessairement être confiée à un professionnel agréé et certifié Z.E. Ready. Celui-ci va estimer, selon les habitudes de conduite du propriétaire du véhicule et les caractéristiques du réseau électrique local, les paramètres d’installation les plus adaptés.
Renault recommande deux types d’équipements distincts pour recharger une batterie de véhicule électrique à domicile : la borne de recharge domestique ou la prise domestique renforcée.
Pour les cas de recharge à domicile, il est conseillé de recharger la batterie de sa voiture électrique pendant les heures creuses, c’est-à-dire celles où la consommation d’énergie électrique est moindre. Pourquoi ? Parce que le tarif de l’électricité est moins cher pendant ces créneaux horaires.
Les heures creuses sont fixées par Enedis, distributeur d’électricité en France. Elles se situent en général entre 21h30 et 7h30 du matin, puis entre 12h et 16h ; mais elles dépendent en réalité de chaque compteur électrique. Renseignez-vous auprès de votre fournisseur d’électricité pour bien connaître vos heures creuses.
La fréquence des recharges d’un véhicule électrique dépend de l’usage quotidien du conducteur et de l’autonomie de la batterie, propre à chaque modèle et qui varie selon différents facteurs extérieurs. Il n’est donc pas possible d’évaluer une fréquence de recharge valable pour tous les propriétaires d’une voiture électrique : il faut se baser sur les indications fournies par le véhicule quant au niveau de charge de la batterie, et anticiper en effectuant une recharge avant d’atteindre 0%.
L’autonomie d’un véhicule électrique dépend des capacités de chaque modèle et de plusieurs facteurs extérieurs et d’usage. Ces facteurs sont : le dénivelé des routes empruntées ; la vitesse ; le style de conduite (sportive, souple, éco-conduite) et la météo (une basse température nécessitera l’activation du chauffage, lequel consommera de l’énergie électrique et donc réduira l’autonomie).
En ce qui concerne les véhicules électriques Renault, ils ont une autonomie, en usage réel, allant jusqu’à 395km WLTP pour Zoe, 200 km en cycle livreur pour Kangoo Z.E., 120 km en cycle livreur pour Master Z.E. et 80 km pour Twizy.
Le temps de recharge d’un véhicule électrique ne peut pas être exprimé de manière absolue car il dépend de plusieurs facteurs.
Ces facteurs sont notamment :
• Le niveau de charge de la batterie. Plus il sera bas plus, évidemment, la recharge sera longue
• La puissance en kW de la prise ou de la borne électrique utilisée. Sachant que 2/3 des 29 000 bornes de recharge en France permettent d’activer le mode de charge accélérée, 9% la charge rapide.
• La qualité du câble de raccordement au réseau électrique utilisé a également un impact sur le temps de charge d’une batterie électrique. Chaque câble tolère un nombre défini de kW. Les véhicules Z.E. Renault sont fournis avec le câble Flexi Charger, qui permet une recharge en 14A (ampère) sur Kangoo et Master ou 16A (ampère) sur Zoe.
On trouve des points de charge pour véhicules électriques dans certains parkings publics, les centres commerciaux, au sein du réseau autoroutier et de certains réseaux d’autopartage. Il en existe près de 29 000 au total en France.
Des points de charge sont également mis à disposition dans les concessions automobiles. 400 établissements Renault sont équipés de bornes permettant le mode de charge accéléré (1H30 de temps de charge à 80%).
L’application MY Renault ainsi que la carte interactive du site renault.fr vous permettent de localiser une borne de recharge en France.
Le choix d’une voiture électrique va dépendre notamment :
- De vos préférences en termes de types de carrosseries
- Du nombre de kilomètres parcourus au quotidien
- Des environnements de conduite les plus fréquents (ville ; autoroute…)
- Du nombre de places et de l’espace intérieur dont vous avez besoin.
Si vous pratiquez souvent la conduite sur autoroute, préférez un véhicule avec une forte autonomie électrique, car la vitesse va augmenter la consommation d’électricité. Une grande autonomie sera un critère moins important pour un automobiliste effectuant une majorité de trajets courts en milieu urbain.
La gamme électrique de Renault comprend :
- Twizy, un quadricycle électrique biplace pratique pour les trajets urbains seul ou à deux ;
- Zoe, une citadine électrique polyvalente, à l’aise aussi bien en ville que sur route ;
- Kangoo Z.E., une fourgonnette électrique modulable ;
- Master Z.E., un véhicule utilitaire électrique spacieux.
Les bonnes raisons de passer à l’électrique sont nombreuses. Parmi les principales :
• Le véhicule électrique est propre : il n’émet pas de CO2, de fumée, ni de particules à l’usage
• Il est économique à l’usage (moins de frais d’entretien, éligible au bonus écologique et à la prime à la conversion, coût de l’électricité inférieur au coût du carburant, stationnement gratuit dans certaines villes…)
• Il est agréable à conduire (silencieux, sans vibrations ni passage de vitesse, dynamique avec des reprises et accélérations franches)
Il existe bien entendu des véhicules utilitaires électriques sur le marché. La motorisation électrique peut en effet équiper tout type de carrosseries : citadines, SUV, berlines mais aussi camionnettes, fourgons, pick-up et fourgonnettes, entre autres.
Renault propose deux modèles de véhicules utilitaires électriques :
• KANGOO Z.E. : une fourgonnette électrique offrant une autonomie de 200km en cycle livreur
• MASTER Z.E. : un fourgon électrique offrant une autonomie de 120 km en cycle livreur.
En général, l’entretien d’une voiture électrique revient de 25% à 40% moins cher que celui d’un véhicule thermique.
Pour une raison simple : un moteur électrique est plus simple qu’un moteur thermique, en ce sens qu’il comporte beaucoup moins de pièces distinctes.
Exit les opérations d’entretien typiques des motorisations essence et diesel : plus besoin de vidanger le moteur ; d’entretenir les courroies de distribution ; de changer les bougies… Et plus de besoin d’effectuer des contrôles anti-pollution.
Plus globalement, le moteur d’une voiture électrique s’use moins vite.
Il faut néanmoins faire vérifier les pièces d’usures : l’état des plaquettes et des disques de freins, comme pour une voiture thermique, ainsi que la pression des pneus, la direction, les suspensions et bien entendu la batterie, qui alimente le moteur en énergie électrique.
Non, pas particulièrement, au contraire : l’assurance d’une voiture électrique reviendra en général moins cher, à garanties équivalentes, que celle d’une voiture essence ou diesel.
La raison est simple : le développement des véhicules électriques n’a pas échappé aux assureurs, qui souhaitent attirer leurs propriétaires en proposant des assurances pour auto électriques à des prix attractifs. Ceux-ci peuvent en effet s’avérer de 5 à 50% moins élevés par rapport à ceux correspondant à l’assurance d’une voiture thermique.
Sources : https://www.lelynx.fr/assurance-auto/vehicule/electrique/ ; https://www.automobile-propre.com/dossiers/assurance-voiture-electrique/
Oui, pour plusieurs raisons :
- toute personne revendant une voiture thermique, pour une mise à la casse, et acquérant un véhicule électrique neuf ou d’occasion peut bénéficier d’une prime à la conversion versée par l’Etat (sous conditions d’âge du véhicule mis au rebut) ;
- les économies d’usage relatives aux véhicules électriques sont incitatives pour les acheteurs potentiels (moins de frais d’entretien ; moindres coûts liés à la consommation ; stationnement gratuit dans plusieurs communes et villes…) ;
- la conduite d’une voiture électrique est plus souple et agréable (moteur silencieux ; reprises plus dynamiques ; pas de boite de vitesse…) ;
- l’augmentation du nombre de bornes de recharge facilite naturellement l’utilisation d’un véhicule électrique
Dans le cas d’une location de batterie, il est également possible de revendre son véhicule électrique.
Le nouvel acquéreur devra signer un nouveau contrat de location de batterie qui lui permettra de bénéficier des mêmes garanties.
Il n’est pas possible de donner un coût de recharge valable dans tous les cas de figure, car il dépendra :
• du mode de recharge choisi (à domicile/bornes publiques/stations de recharge rapide) ;
• du moment de la recharge (heures pleines/heures creuses) ;
• du contrat d’électricité (en cas de recharge à domicile) et enfin du modèle de véhicule électrique concerné.
Notez que certains employeurs proposent un service de recharge gratuit à leurs employés. La recharge gratuite de véhicules électriques est également disponible dans certains parkings et centres commerciaux.
Comme souvent, le mérite revient à plusieurs personnes plutôt qu’à une seule. L’écossais Robert Anderson mit au point une sorte de carriole électrique en 1830. Vers 1835, Thomas Davenport lui succéda en créant une petite locomotive électrique.
Le développement de la voiture électrique est directement lié aux améliorations des batteries, que l’on doit à Gaston Planté, inventeur de la première batterie rechargeable en 1859, puis à Camille Faure en 1881.
Il y a un doute quant à l’identité de l’inventeur de la toute première voiture électrique à proprement parler. Thomas Parker, connu pour avoir développé les équipements qui alimentent les premiers tramways électriques, est un candidat sérieux, que l’on aperçoit sur la première photo connue montrant une voiture électrique (prise vers 1895). Mais qu’il soit l’inventeur du véhicule en question reste hypothétique.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Voiture_electrique; http://www.avere-france.org/Site/Article/?article_id=5871
Une voiture électrique possède un moteur spécifique alimenté uniquement avec de l’énergie électrique issue d’une batterie.
Une voiture hybride comporte un moteur thermique (essence, le plus souvent) combiné à un ou plusieurs moteur(s) électrique(s).
Au cours d’un trajet donné, le véhicule hybride alterne entre les tractions hybride, 100% électrique et 100% thermique, tandis que le véhicule électrique utilise uniquement la traction 100% électrique.
La voiture électrique émet donc moins de CO2 qu’une voiture hybride, laquelle reste moins polluante qu’un véhicule 100% thermique.
Une voiture électrique fonctionne grâce à un moteur électrique alimenté en électricité par une batterie. Celle-ci doit donc être régulièrement rechargée à domicile ou à l’extérieur, via des bornes de recharge.
Les véhicules électriques ne possèdent pas de boîte de vitesse, car l’axe du moteur se cale directement sur celui des roues de la voiture, sans passer par un système de pistons. Par conséquent, le véhicule ne possède pas non plus d’embrayage : il suffit de tourner la clé de contact puis d’appuyer sur la pédale d’accélérateur pour le faire démarrer.
Par ailleurs, le véhicule électrique offre une conduite souple, des reprises dynamiques, ainsi qu’une accélération franche et immédiate, dès le démarrage.
La consommation d’un véhicule électrique s’exprime généralement en nombre de kWh (kilowatt-heure) pour 100 kilomètres. En moyenne, elle se situe autour de 0,17 kWh/100 km mais cette donnée varie en fonction de plusieurs facteurs. En les connaissant, vous serez plus à même d’optimiser les dépenses liées à la recharge de votre véhicule.
• La vitesse : plus la vitesse du véhicule augmente, plus la quantité d’énergie électrique consommée augmente. C’est pourquoi la conduite sur autoroute occasionne une consommation plus élevée.
• Le style de conduite : une conduite souple réduit la consommation énergétique. Inspirez-vous des principes de l’éco-conduite pour réaliser encore plus d’économies d’énergie.
• Le poids du véhicule : plus le véhicule est lourd, plus il consomme d’énergie électrique en roulant. N’hésitez pas à réduire au maximum la charge à l’intérieur du véhicule en vous débarrassant d’objets lourds superflus.
• La température ambiante : s’il fait froid dehors et que vous activez le chauffage électrique, cela a un impact sur la consommation du véhicule (l’énergie requise provenant directement de la batterie). Une voiture électrique consomme donc davantage en hiver qu’en été, mais vous pouvez minimiser cette augmentation en préchauffant le véhicule pendant les phases de recharge
• La typographie de la route : un dénivelé plus important entraînera davantage de consommation.
Source :
https://selectra.info/energie/actualites/insolite/consommation-vehicules-electriques-france-2040#:~:text=Au%20total%2C%20une%20voiture%20%C3%A9lectrique,km%20en%20moyenne%20en%202016. ;
https://www.automobile-propre.com/dossiers/cout-prix-recharge-voiture-electrique/
La principale spécificité d’une voiture électrique est qu’elle ne fonctionne pas avec un moteur thermique alimenté par de l’essence ou du gazole, mais avec un moteur électrique.
La traction est donc assurée par une énergie 100% électrique, issue d’une batterie disposée à l’intérieur du véhicule et reliée à son moteur. Cette batterie doit être rechargée régulièrement en électricité pour délivrer l’énergie nécessaire.
De cette caractéristique de base découlent plusieurs autres spécificités :
- Le véhicule électrique ne possède pas de boite de vitesse, car le moteur électrique peut effectuer plusieurs milliers de tours par minute sans difficultés et délivre un couple optimal dès le démarrage ;
- Le véhicule électrique est silencieux et inodore (pas de combustion d’hydrocarbures) ;
- Le véhicule électrique n’émet pas de CO2 ni de particules dans l’atmosphère.
Les voitures électriques fonctionnent bien entendu en hiver, mais elles consomment plus d’énergie en cette saison, car les basses températures nécessitent souvent le chauffage des vitres intérieures, des sièges et du volant. Or l’énergie utilisée pour chauffer une voiture électrique provient directement de la batterie.
Vous aurez donc à planifier davantage de recharges au cours des mois d’hiver. Retenez tout de même ces quelques astuces pour limiter au maximum la consommation d’un véhicule électrique en cette saison :
• S’il fait particulièrement froid et que vous en avez la possibilité, garez le véhicule à l’intérieur d’un garage. La batterie refroidira moins.
• Profitez des phases de rechargement à domicile pour préchauffer l’intérieur du véhicule. Quand vous l’utiliserez, vous pourrez ainsi régler un niveau de chauffage plus bas puisque la température intérieure sera plus élevée.
Les voitures électriques sont aussi fiables que les voitures diesel ou essence, voire davantage puisqu’elles se réapprovisionnent en énergie lorsqu’elles roulent. Bien sûr, si un conducteur n’anticipe pas assez les réserves d’énergie qu’il lui reste, il peut tomber en panne. Mais il s’agit d’un problème que peuvent rencontrer les conducteurs de tous les types de véhicules !
Les moteurs électriques sont moins complexes et possèdent nettement moins de pièces que les moteurs thermiques. Ils nécessitent donc moins d’entretien que ces derniers, tandis que le risque de rencontrer un problème de fonctionnement est réduit.
Les performances en termes d’autonomie augmentent progressivement, au même titre que le nombre de bornes de recharge. Au niveau de la conduite, les véhicules électriques offrent une plus grande souplesse et des reprises plus dynamiques, tandis que les moteurs actuels délivrent une puissance potentiellement égale à ceux des moteurs thermiques (lire Les véhicules électriques sont-ils puissants ?).
Les composants, quant à eux, sont aussi solides et résistants que ceux des autres véhicules. Renault est le pionnier des voitures électriques en Europe : ses équipements ont déjà fait leurs preuves et sont connus pour bien tenir la distance et résister au temps. Renault continue de développer de nouvelles technologies pour des voitures électriques toujours plus sûres.
Le moteur électrique ne consomme de l'énergie que lorsque vous le sollicitez à l'accélération. À l'arrêt, la seule consommation vient des auxiliaires comme le chauffage ou la climatisation s'ils sont activés. Dans un embouteillage vous enchaînez les phases d'arrêt, de démarrage et de décélération, ce qui est plutôt favorable aux moteurs électriques qui récupèrent de l'énergie à la décélération et au freinage (si on les compare avec la plupart des moteurs Diesel ou Essence).
Avec la batterie 60kWh, parcourez jusqu'à 470 km* WLTP en cycle mixte et jusqu'à 300 km sur autoroute avec une charge pleine.
*disponible en version evolution ER. Informations complémentaires à partir de février 2022.
simulez l'autonomie et le temps de charge
La conduite d’un véhicule électrique présente plusieurs avantages et aspects spécifiques.
Contrairement à un moteur thermique, la force de mouvement de rotation du moteur électrique est maximale dès le démarrage. Les véhicules électriques ont donc de meilleures reprises et une capacité d’accélération plus franche au démarrage que les véhicules essence ou diesel.
Ils offrent également un plus grand confort : la motorisation électrique ne provoque pas de vibrations au sein du véhicule et est totalement silencieuse. Et inodore : fini les odeurs liées à la combustion des carburants fossiles !
Enfin, une voiture électrique ne possède pas de levier de vitesse. Celui-ci serait inutile, étant donné la capacité du moteur électrique à délivrer un couple optimal dès le démarrage, et sur une plage d’utilisation très large. L’automobiliste a donc moins de mouvements à effectuer lorsqu’il conduit.
La voiture électrique incite également à une conduite plus souple et plus simple, à l’image du mode B. Disponible sur Zoe par exemple, ce mode permet une décélération accentuée pour une utilisation réduite de la pédale de frein.
Certaines de ces qualités nécessiteront au début un léger temps d’adaptation : l’absence de bruit et la souplesse des reprises fait que l’on peut accélérer rapidement sans en avoir suffisamment conscience. Il faut également tenir compte du fait que les piétons n’entendent pas le véhicule s’approcher.
La puissance d’un moteur automobile se calcule en fonction de sa vitesse de rotation et de son couple. Dans le cas d’une voiture électrique, cette puissance est exprimée en kilowatt (kW) tandis que les chevaux (ch) constituent l’unité de mesure utilisée pour les moteurs des voitures thermiques.
Les moteurs des voitures électriques actuelles sont potentiellement aussi puissants que les moteurs thermiques fonctionnant à l’essence ou au diesel. Ils disposent par ailleurs d’une plus grande capacité d’accélération au démarrage et offrent donc des reprises plus vives et plus fluides.
Ceci étant dit, toutes les voitures électriques ne présentent pas le même bilan en termes de puissance ; tout dépend de la taille du moteur et de la capacité de la batterie qui l’alimente en énergie électrique. La puissance dépend donc des performances propres à chaque modèle de véhicule électrique, comme c’est déjà le cas pour n’importe quel véhicule thermique.
Consultez la fiche technique du véhicule électrique qui vous intéresse pour connaître la puissance de son moteur en kilowatt. Vous pouvez ensuite convertir cette donnée en chevaux vapeur si cette unité vous parle plus, sachant que 1 kW correspond à 1,35962 ch.
La conduite d’un véhicule électrique ne présente aucune difficulté particulière. Au contraire : comme ce type de véhicule ne possède pas de boite de vitesse, le conducteur n’a pas à passer manuellement les vitesses, comme il doit le faire dans les voitures thermiques (sauf celles avec boite automatique). La conduite d’un véhicule électrique nécessite donc une manœuvre de moins pour l’automobiliste.
Il est tout à fait possible de conduire un véhicule électrique sur autoroute, d’autant plus qu’aujourd’hui, les moteurs électriques sont potentiellement aussi puissants que les moteurs thermiques.
Il faut simplement noter que sur autoroute, le véhicule consommera plus d’énergie électrique qu’en ville par exemple, en raison de sa vitesse (la vitesse étant l’un des facteurs agissant sur la consommation). Un aspect en partie compensé par :
• les capacités, plus grandes qu’auparavant, des véhicules électriques en termes d’autonomie ;
• la présence de 200 points de recharge rapide sur le réseau autoroutier français, permettant de recharger son véhicule électrique en une trentaine de minutes.
En phase de fabrication, l’impact carbone d’une voiture électrique est plus lourd que celui d’une voiture thermique, car la fabrication des batteries implique l’utilisation de plusieurs énergies fossiles et de métaux tels que le lithium.
En revanche, la voiture électrique n’émet ni CO2, ni particules lorsqu’elle circule, contrairement aux véhicules essence et diesel.
Le bilan carbone d’une voiture électrique s’améliore donc au fil de son utilisation. La question étant : cette amélioration compense-t-elle les émissions liées à la phase de production ? Autrement dit, le véhicule électrique présente-t-il un meilleur bilan carbone qu’un véhicule thermique équivalent ?
La réponse est oui, selon une étude publiée, le 21 avril 2020, par Transport & Environnement (T&E), une organisation européenne qui regroupe une cinquantaine d’ONG.
Cette étude a comparé les quantités de CO2 émises par les véhicules diesel, essence et électrique. Pour ne pas biaiser les résultats, T&E a établi plusieurs scénarios pour le véhicule électrique, auxquels correspondent des bilans carbone plus ou moins élevés (selon le pays de production de la batterie, par exemple).
La conclusion est nette : même selon le pire des scénarios, un véhicule électrique émet 22% de CO2 de moins que son équivalent diesel, et 28% de moins que son équivalent essence. Ces chiffres bondissent à 80% et 81% dans le meilleur des scénarios.
Selon ces données et en attendant d’éventuelles études complémentaires, on peut donc affirmer que le bilan carbone du véhicule électrique est nettement plus favorable à l’environnement que celui propre aux véhicules thermiques.
Source : https://www.transportenvironment.org/news/does-electric-vehicle-emit-less-petrol-or-diesel
Une voiture électrique n’émet pas de CO2 ni de particules dans l’atmosphère quand elle circule, contrairement aux véhicules thermiques. En revanche, la fabrication d’une voiture électrique est source d’émissions de CO2 et implique l’utilisation d’énergies fossiles.
Il serait donc erroné d’affirmer que les véhicules électriques ne sont pas du tout polluants. Mais ils le sont nettement moins que les véhicules thermiques : ils émettent, selon les cas de figure, de 22% à 81% de CO2 de moins que les voitures essence et diesel, comme l’a récemment démontré, à travers une étude comparative, l’organisation européenne Transport & Environnement (lire Quel est le bilan carbone d’un véhicule électrique ?).
Source : https://www.transportenvironment.org/news/does-electric-vehicle-emit-less-petrol-or-diesel
Oui, et c’est d’ailleurs une obligation légale. En France, et selon la réglementation européenne sur les piles et accumulateurs, la législation prévoit un taux de recyclage d’au moins 50% de la masse totale d’une batterie lithium ion.
Renault se charge de confier le recyclage des batteries de ses voitures électriques à des partenaires industriels spécialisés. Cet engagement est valable que l’acheteur ait choisi de louer ou d’acheter la batterie lors de l’acquisition du véhicule.
On estime qu’il y avait, en octobre 2019, plus de 200 000 véhicules électriques en circulation sur les routes françaises. Le parc automobile français dans son ensemble compte 32 millions de voitures particulières.
En 2020, 8,2 % des véhicules achetés en France étaient électriques, un pourcentage en forte augmentation par rapport à l’année 2019 (1,9%).
En 2011, Renault était le premier constructeur européen à lancer sa gamme de véhicules électriques. La barre des 200 000 véhicules électriques vendus en Europe a été franchie huit ans plus tard, en février 2019.
Au cours de cette même année, près de 360 000 voitures électriques ont été immatriculées sur l’ensemble du territoire européen !
La location de la batterie entraîne automatiquement la baisse du coût d’achat initial. Vous verserez un loyer mensuel, dont le montant est fonction du nombre estimé de kilomètres parcourus chaque mois et du modèle acquis.
Le contrat Renault de location de batterie offre plusieurs avantages :
- un prix qui s’ajuste selon vos besoins et l’évolution de l’usage du véhicule ;
- une assistance gratuite en cas de panne ;
- une réparation ou un remplacement rapide de l’équipement en cas de disfonctionnement ;
- une revente facilité du véhicule électrique.
Si vous achetez la batterie, son coût est inclus dans le prix d’achat du véhicule, qui sera donc plus élevé. L’avantage est que vous ne paierez bien entendu pas de loyers mensuels. Le kilométrage est par ailleurs illimité, et les batteries Z.E. sont garanties 3 ans, 5 ans ou 8 ans selon les modèles.
L’achat comme la location de batterie présente des avantages spécifiques. Pesez le pour et le contre avant de faire votre choix. Vous pouvez également demander l’avis d’un conseiller Renault, qui vous aidera à prendre la décision la plus adaptée à votre situation et à vos besoins .
Notez que dans les deux cas de figure, Renault garantit le recyclage de la batterie, par le biais d’un partenariat avec des entreprises spécialisées.